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Ilpeut, mais pas tant qu'il aura son titre de séjour. A moins qu'il ait un visa long séjour avec lequel il est arrivé en France. Avec un récépissé de demande de 1ere carte de séjour, on ne peut pas quitter le territoire Français tant qu'on n'a Délégationpermanente de l'Islande auprès de l'UNESCO. Bureau M8.35 1, rue Miollis 75015 Paris. Tel 01 44 17 32 85. Fax .96. E-mail dl.islande@unesco-delegations.org ISLANDE- Rebond préoccupant des cas malgré un fort taux de vaccination. L'Islande détient le taux de vaccination le plus élevé du monde. Près de 80% de la population islandaise a reçu ses Geyser Coucher du soleil sur Kirjufell. Dans le Sud de l’Islande, découvrez les magnifiques chutes d’eau de Skógafoss, Seljalandsfoss, ou Svartifoss. Ne manquez pas non plus les impressionnantes falaises de Dyrhólaey où vous pourrez observer des macareux ( Quand voir des macareux) et le magnifique canyon de Fjaðrárgljúfur. Terrede contraste, l’Islande a été confrontée très brutalement à la crise de 2008. Elle en est sortie en choisissant des solutions innovantes, tant par le choix de sa constitution 2.0 que par son investissement dans la lutte contre le réchauffement climatique. Son énergie abondante et renouvelable, avec la géothermie, l’hydroélectricité et ses réserves de [] Site De Rencontre Des Hommes Veufs. Grâce au Telegraph, on en sait un peu plus sur l’état de la consommation de cannabis dans le monde, et les Français peuvent-être fiers d’eux ou pas.Rassurant ou pas, la France dépasse largement les autres pays européens en matière de fumette elle occupe en toute simplicité la première place du continent dans le classement des pays du monde selon le nombre d’habitants consommateurs réguliers de cannabis, publié par The Telegraph dans sa sections voyage. La jolie teinte vert foncé indique que 11 Français sur 100 se déclarent consommateurs de cannabis. Un chiffre qui la place tout de même au 6e rang du classement mondial. Au niveau européen, on retrouve juste derrière nous l’Espagne et l’Italie, avec 9,2 % d’usagers. Les Pays-Bas, malgré la quasi légalisation du produit, atteignent tranquillement les 8 %.Mais, globalement, les pays européens font pâle figure face à la concurrence mondiale même s’il faut souligner qu’il manque quand même quelques chiffres, notamment pour l’Asie et l’Afrique. Au top, et aussi surprenant que cela puisse paraître, l’Islande explose tous les records avec une hallucinante proportion de 18,3 % de fumeurs réguliers, soit environ 60 000 personnes sur 323 000 habitants. Pas est suivie par un géant de la consommation de cannabis les États-Unis, avec 16,2% de consommateurs soit… environ 50 millions de personnes, presque autant que toute la population française. En cause, les politiques de légalisation du cannabis adoptées par de nombreux États au cours de ces dernières années, comme le Colorado ou, plus récemment, la 30 premiers du classement sont à retrouver ci-dessous Islande – 18,3 % États-Unis – 16,2 % Nigeria – 14,3 % Canada – 12,7 % Chili – 11,83 % France – 11,1 % Nouvelle-Zélande – 11 % Bermuda – 10,9 % Australie – 10,2 % Zambie – 9,5 % Uruguay – 9,3 % Espagne – 9,2 % Italie – 9,2 % Madagascar – 9,1 % République Tchèque – 8,9 % Israël – 8,88 % St Lucia – 8,87 % Belize – 8,45 % Barbados – 8,3 % Pays-Bas – 8 % Greenland – 7,6 % Jamaïque – 7,21 % Danemark – 6,9 % Suisse – 6,7 % Egypte – 6,24 % Royaume-Uni – 6,2 % Irlande – 6 % Estonie – 6 % Bahamas – 5,54 % Sierra Leone – 5,42% À voir aussi sur Konbini International Guerre en Ukraine Publié le 24 mai 2022 à 07h46 - Mis à jour le 17 août 2022 à 13h37 DécryptagesPlus de cinq mois après l’invasion de l’Ukraine par la Russie, visualisez l’évolution du conflit sur le terrain et ses conséquences dans le monde avec les cartes actualisées du Monde ». Lire aussi Suivez le direct quotidien de la guerre en Ukraine Les cartes ci-dessous permettent de voir l’évolution des territoires contrôlés par les Russes en Ukraine depuis le 24 février, ainsi que les enjeux humanitaires, économiques et militaires du conflit. La carte ci-dessous montre, semaine après semaine, l’évolution des territoires contrôlés par les Russes en Ukraine depuis le 24 février, date du début de l’offensive. Elle s’appuie sur les observations de l’Institut pour l’étude de la guerre Institute for the Study of War, ISW, une organisation non gouvernementale américaine, ainsi que celles de l’Institut australien de politique stratégique Australian Strategic Policy Institute, ASPI et de War Mapper. Elle est mise à jour toutes les semaines, le lundi. Kiev Kiev Kharkiv Kharkiv Lviv Lviv Sébastopol Sébastopol Odessa Odessa Dnipro Dnipro Tchernihiv Tchernihiv Marioupol Marioupol Donetsk Donetsk Louhansk Louhansk Brest Brest Kherson Kherson Vinnytsia Vinnytsia Tcherkassy Tcherkassy Soumy Soumy Zaporijia Zaporijia Mykolaïv Mykolaïv Kryvy Rih Kryvy Rih Izioum Izioum Sievierodonetsk Sievierodonetsk Mer Noire Biélorussie Russie Roumanie Moldavie Ukraine 100 km Russie et alliés Crimée, annexée depuis 2014 Territoire occupé par l'armée russe Où l'armée russe mène des opérations ↖ Mouvements russes ↘ Contre-offensives ukrainiennes Ville tenue par les Ukrainiens Ville conquise par les Russes Ville au statut disputé Centrales nucléaires en service Restée à l’écart des combats depuis le lancement de l’offensive russe en Ukraine, le 24 février, la péninsule de Crimée, annexée par la Russie en 2014, est dans le viseur de l’armée ukrainienne. Après une première attaque, le 9 août, sur l’aérodrome militaire de Saky, situé dans l’ouest de ce territoire, de violentes explosions ont de nouveau secoué, mardi 16 août, une base russe installée dans le district de Djankoï, dans le nord-est de la région. Des frappent non revendiquées par Kiev mais qui s’inscrivent dans une stratégie ukrainienne de harcèlement. Et qui répondent aussi à un objectif politique montrer que l’Ukraine n’a pas renoncé à la Crimée, malgré huit ans d’occupation russe. Les deux belligérants s’accusent mutuellement de bombarder cette centrale située dans le sud de l’Ukraine et tombée début mars aux mains des soldats russes, sans qu’aucune source indépendante ne puisse confirmer qui est à l’origine des tirs. Le bombardement du site de Zaporijia par les forces armées ukrainiennes » pourrait avoir des conséquences catastrophiques pour une vaste zone, y compris pour le territoire européen », a averti lundi 8 août le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov. Il n’y a pas une seule nation au monde qui puisse se sentir en sécurité lorsqu’un Etat terroriste bombarde une centrale nucléaire », avait affirmé la veille dans sa vidéo quotidienne le président ukrainien Volodymyr Zelensky. L’AIEA avait jugé samedi de plus en plus alarmantes » les informations en provenance de Zaporijia, dont l’un des réacteurs a dû être arrêté après une attaque survenue la veille. Au moment de la prise de la centrale, les militaires russes avaient ouvert le feu sur des bâtiments, au risque d’un accident nucléaire majeur. Désormais maîtres de la région de Louhansk, les troupes russes s’attaquent à de nouveaux objectifs dans celle de Donetsk, toujours dans l’est de l’Ukraine, confirmant l’entrée de la guerre dans une nouvelle phase plus de quatre mois après son déclenchement. La prise de la ville de Lyssytchansk dimanche 3 juillet a permis à Moscou de parachever son offensive sur la région de Louhansk, l’une des deux du Donbass, le grand bassin industriel de l’est de l’Ukraine devenu le plus important champ de bataille d’Europe depuis des décennies. Officiellement, l’armée russe a perdu très peu d’hommes depuis le début du conflit. Son dernier bilan, publié le 25 mars, faisait état de 1 351 soldats tués et 3 825 blessés. Depuis, aucune indication n’a été donnée par Moscou. Selon les analystes, ces pertes seraient en réalité dix fois plus importantes, au minimum. Zone de frictions entre les sphères d’influence russe et européenne, la petite république moldave du Dniestr Transnistrie » est une anomalie géopolitique, à l’origine d’un conflit gelé » qui menace de s’embraser depuis l’invasion russe en Ukraine. Les forces russes contrôlent actuellement environ 20 % » du territoire ukrainien, soit près de 125 000 km2, a déclaré jeudi 2 juin le président ukrainien Volodymyr Zelensky, dans une adresse au Parlement luxembourgeois. Dans l’Est, l’armée russe est entrée dans Sievierodonetsk et pilonne la ville voisine de Lyssytchansk. Au nord, Sloviansk et Kramatorsk craignent, après la chute de Lyman, d’être les prochaines cibles. De la résistance ou non de ces quatre villes dépend le sort du Donbass. Les prochaines semaines de guerre seront difficiles », a prévenu lundi soir le président ukrainien Volodymyr Zelensky dans son allocution télévisée quotidienne. Après avoir éloigné les forces russes des deux plus grandes villes du pays, la capitale Kiev fin mars et début avril puis Kharkiv en mai, les Ukrainiens reconnaissent depuis quelques jours des difficultés » dans le Donbass, formé par les oblasts de Lougansk et Donetsk. C’est la chute d’un symbole. Moscou a annoncé, vendredi 20 mai, au 86e jour de guerre, avoir achevé la conquête de Marioupol. La ville portuaire stratégique sur la mer d’Azov est devenue l’incarnation à la fois du martyre et de la résistance de l’Ukraine. Pour les forces russes, après l’échec dans le nord du pays, des assauts contre Kiev, la capitale, puis contre Kharkiv, la deuxième ville du pays, la prise de contrôle total de Marioupol est le premier succès militaire majeur du conflit déclenché le 24 février. Kiev estime que 20 000 personnes ont été tuées à Marioupol et que 80 % de ceux qui ont survécu ont fui la cité portuaire. La force d’occupation russe règne ainsi sur un champ de ruines, parmi des survivants meurtris. L’Ukraine se prend à rêver d’une libération complète de son territoire, non seulement des zones occupées depuis le 24 février, mais aussi du Donbass séparatiste » et de la Crimée annexée en 2014. L’afflux d’aide militaire occidentale pourrait favoriser ou accélérer un basculement du rapport de force en faveur des forces ukrainiennes. Mais mener une grande offensive dans le Sud sera difficile. La reconquête de la région de Kherson impose de traverser la frontière naturelle constituée par le Dniepr et de combattre sur la steppe, qui n’offre guère de moyens de se dissimuler. L’hypothèse d’un enlisement débouchant sur une guerre de position paraît probable. Pour aller plus loin Article réservé à nos abonnés Guerre en Ukraine le discours triomphaliste de Kiev se heurte à des limites sur le terrain Enchâssé entre Pologne et Lituanie, l’oblast de Kaliningrad est une enclave russe au cœur de l’OTAN. Annexée par Staline à l’issue de la seconde guerre mondiale, cette région stratégique s’est muée en forteresse militaire consacrée à la défense de l’URSS durant la guerre froide, puis de la Russie après 1991. Alors que Vladimir Poutine s’évertue depuis des années à développer sa flotte du Nord, c’est à Kaliningrad, siège de la flotte de la Baltique, qu’il envoie des avions MiG-31K, équipés de missiles hypersoniques Kinjal – capables de porter des ogives nucléaires et présentés comme l’une des six armes de nouvelle génération de la Russie, renforçant ainsi son arsenal en plein territoire otanien, deux semaines avant l’invasion de l’Ukraine, le 24 février. Pour aller plus loin Article réservé à nos abonnés Kaliningrad, une épine dans le pied de l’OTAN En dix ans, l’Ukraine est devenue l’un des principaux exportateurs mondiaux de céréales. Une formidable logistique agricole grippée par l’invasion russe déclenchée le 24 février. Le blocus de la mer Noire menace la sécurité alimentaire de nombreux pays qui se fournissent auprès de Kiev en blé, maïs, colza, tournesol, orge… Dans une série en trois épisodes, Le Monde » revient sur l’histoire des liens entre les deux pays et sur la manière dont des mémoires antagonistes s’affrontent. 1918-1920 la République populaire d’Ukraine ou l’histoire d’un effacement Mer Noire Mer Baltique Mer Caspienne Rus’ de Kiev Frontièresactuelles Principalevoie commerciale Moscou Hambourg Kiev Birka Lübeck Venise Constantinople Prague Novgorod Hetmanatcosaqueen 1654 Empired’Autriche Moldavie Balachie Khanatde Crimée Empire ottoman Tsaratde Russie RépubliquedesDeux Nations Mer Noire Lviv Sébastopol Odessa Kharkiv Kiev Marioupol Zaporijia Prusse Empire ottoman Empirede Russie Empired’Autriche Empireallemand Empireaustro- hongrois Empire de Russie Royaume de Roumanie 882-1240 La Rus’ de Kiev, premier Etat des Slaves orientaux christianisés A partir du VIIIe siècle, l’expansion vers l’est des Vikings scandinaves, les Varègues, permet d’ouvrir une voie commerciale fluviale reliant la mer Noire à la Baltique. Kiev devient alors un carrefour commercial et un centre de pouvoir rassemblant des peuples slaves sous sa principauté. Après la conversion au christianisme du prince Vladimir 988, la Rus’ s’étend vers Novgorod et Moscou, puis se morcelle et disparaît au XIIIe après l’invasion mongole. XVIIe siècle L’Ukraine partagée entre Russie et Pologne Les Cosaques, issus de populations semi-nomades ayant agrégé des paysans fuyant le servage, rayonnent sur la steppe aux confins – en russe oukraïna, à l’origine du toponyme Ukraine » – de différents royaumes. En 1654, ils s’allient au tsar de Russie. Mais, en 1667, la Russie s’entend avec la République des Deux Nations Pologne et Lituanie pour se partager la région. Le territoire est alors divisé à l’ouest du fleuve Dniepr, les Polonais, et à l’est, Moscou, qui règne sur la Malorossia, la Petite Russie » . Au sud, les rives de la mer Noire restent sous contrôle ottoman et tatar. XVIIIe siècle L’expansion russe Catherine II étend l’Empire russe aux steppes et aux rives de la mer Noire. Entre 1772 et 1795, à la faveur des partages de la Pologne, devenue protectorat russe, elle reconquiert les terres de l’ancienne Rus’ à l’ouest du Dniepr, tandis que l’Empire austro-hongrois acquiert la région de Lviv. Au sud, elle défait les Ottomans en 1774 et 1783. Elle contrôle alors la Novorossia Nouvelle Russie » qui court de l’embouchure du Dniestr à celle du Don, en passant par la péninsule de Crimée, lui offrant un accès à la mer Noire. 1917-1921 La période révolutionnaire En 1917, la révolution de février disloque l’Empire russe. Un Parlement ukrainien, la Rada, se constitue à Kiev et revendique l’indépendance de la République populaire d’Ukraine. Un an plus tard, celle-ci signe avec les empires centraux une paix séparée à Brest-Litovsk, parallèlement à la nouvelle République soviétique russe. La République soviétique ukrainienne, proclamée à Kharkiv en 1918, dispute le pouvoir à Kiev et gagne la guerre civile qui s’ensuit, avant de participer à la création de l’URSS en 1922. Frontière accordée à la république ukrainienne par les puissances centrales, lors du traité de Brest-Litvosk en 1918 Frontière revendiquée par la République populaire d’Ukraine en 1919, couvrant les territoires peuplés d’Ukrainiens Frontière revendiquée par la République socialiste soviétique d’Ukraine, à la création de l’URSS en 1922 Infographie Le Monde Francesca Fattori, Xemartin Laborde, Delphine Papin et Lucie Rubrice Sources F. de Jabrun, Atlas de l’Ukraine, 2010 ; C. Grataloup, P. Boucheron, Atlas historique mondial, L’Histoire-Les Arènes, 2019 ; Encyclopédie Britannica ; Limes ; T. Chopard Cartes réalisées avec l'aide de Thomas Chopard, chercheur au Centre de recherches Europes-Eurasie de l'Inalco et directeur-adjoint du Centre d'études franco-russe En Ukraine, la grande famine de 1933, une tragédie étouffée La relecture de la seconde guerre mondiale, autre front entre la Russie et l’Ukraine La Moldavie, petit pays neutre d’Europe orientale, peuplé de 2,6 millions d’habitants, subit de plein fouet les conséquences de la guerre qui se déroule chez son voisin ukrainien et qui a conduit plus de 400 000 personnes à se réfugier sur son sol. Mais Chisinau la capitale redoute surtout que le conflit gagne ses frontières. Au cœur de ses préoccupations la région séparatiste prorusse de Transnistrie. Des tirs ont été entendus mercredi 27 avril près d’un dépôt de munitions russes situé sur ce territoire, laissant craindre que la Moldavie devienne à son tour une cible du Kremlin. La Russie a déclaré mardi 19 avril avoir mené une dizaine de frappes dans l’est de l’Ukraine, au lendemain de l’annonce par Kiev d’une nouvelle offensive de l’armée russe dans cette région. A l’aide de missiles de haute précision », les forces aériennes russes ont neutralisé 13 places fortes » de l’armée ukrainienne, a affirmé le ministère de la défense russe, en appelant à la reddition de tous les militaires ukrainiens ». Les autorités locales ont de leur côté appelé les habitants à fuir cet enfer », malgré l’absence de couloirs humanitaires. Alors que certaines sources prédisent la chute imminente de la ville de Marioupol, position stratégique dans le sud du Donbass, Kiev a plusieurs fois appelé la population des deux régions de Donetsk et Louhansk à fuir au plus vite et se prépare depuis plusieurs jours à une attaque imminente. Quelles formes pourrait prendre cette offensive ? Quelles sont les options militaires de la Russie ? Quelle résistance les Ukrainiens sont-ils capables d’opposer ? Les différents scénarios militaires possibles, réalisés avec Vincent Tourret, chercheur à la Fondation pour la recherche stratégique, et l’historien militaire Michel Goya. Vendredi 15 avril, 4 796 245 réfugiés ukrainiens étaient enregistrés par le Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés. Durant la première phase de l’invasion par la Russie, les missiles antichars, antiaériens et les drones de combat employés par les troupes ukrainiennes ont été parmi les armements les plus visibles et les plus efficaces. La raison principale du succès de ces armes est liée à l’échec du plan initial russe d’une guerre éclair, liée notament à une maîtrise imparfaite du ciel, qui a cédé la place à des combats urbains et à une bataille de convois. Sur mer, la guerre navale a été marquée par la perte hautement symbolique, côté russe, du croiseur Moskva, un type de navire très imposant plus de 13 000 tonnes, long de 186 mètres, capable de coordonner des opérations et de commander plusieurs autres navires en même temps. Un missile a touché vendredi 8 avril la gare de Kramatorsk, dans l’est de l’Ukraine, causant la mort d’au moins 52 personnes, dont cinq enfants. Un mal sans limite », selon le président ukrainien, Volodymyr Zelensky ; une horrible atrocité » commise par Moscou pour le président des Etats-Unis, Joe Biden ; un crime contre l’humanité », selon la diplomatie française ce massacre a suscité une vague de condamnations occidentales, mais Moscou a nié toute responsabilité. Une course contre la montre s’est engagée entre les armées russe et ukrainienne pour se redéployer dans l’est du pays, dans ce qui sera probablement le principal théâtre d’affrontement entre les deux pays. L’armée russe amorce une manœuvre classique consistant à prendre en tenaille le corps d’armée ukrainien défendant le Donbass. Les résultats de cette offensive restent, pour l’instant, incertains. L’isolement des forces du Donbass serait désastreux pour l’Ukraine. Si elle réussissait, l’opération permettrait à Moscou de mettre à terme la main sur les régions administratives de Donetsk et de Louhansk. C’est désormais l’objectif militaire principal affiché par le ministère de la défense russe. Pour l’heure, l’état-major, à Moscou, ne donne aucune information sur la tentative d’encerclement des troupes ukrainiennes. L’Ukraine a annoncé samedi 2 avril que toute la région de Kiev était libérée », après le retrait fulgurant des forces russes – Moscou a annoncé le 25 mars son intention de se concentrer désormais sur la région du Donbass, dans l’est de l’Ukraine. A mesure que les troupes russes se sont repliées des régions de Kiev et de Tchernihiv, les forces ukrainiennes ont pu reprendre des dizaines de localités, dévastées par les combats Irpine, Boutcha, Hostomel et toute la région de Kiev ont été libérées de l’envahisseur », a affirmé la vice-ministre de la défense ukrainienne, Hanna Maliar. Dans ces villes, à Boutcha notamment, des centaines de cadavres de civils ukrainiens ont été découverts après le départ des soldats russes, des images qui ont scandalisé le monde entier. Jeudi 31 mars, Moscou a dit accepter la mise en place, vendredi 1er avril, d’un couloir humanitaire » pour permettre aux habitants de la ville martyre de Marioupol de fuir la cité, assiégée, isolée et bombardée sans relâche depuis plus d’un mois. Les autorités ukrainiennes ont décidé de dépêcher sur place un convoi de quarante-cinq bus, afin d’évacuer la population dès que possible vers Zaporijia. Mais côté occidental, beaucoup doutaient que l’opération puisse être menée à bien. D’après un bilan de la mairie établi lundi, au moins 5 000 personnes ont été tuées à Marioupol depuis le début de l’invasion russe de l’Ukraine, le 24 février. Les progrès annoncés sur le plan diplomatique font écho à certains succès ukrainiens sur le plan opérationnel. L’Ukraine a ainsi affirmé lundi avoir libéré » la ville d’Irpine, près de Kiev, où de violents combats ont eu lieu. Le petit village de Mala Rohan, à 4 kilomètres à l’est de Kharkiv, a, lui aussi, été reconquis, de même que la ville de Trostianets, au nord-est du pays. Dans le Sud, le responsable militaire de Kryvy Rih, où a grandi Volodymyr Zelensky, a, quant à lui, affirmé que les forces russes avaient été repoussées à 40-60 kilomètres de la ville ». Mais la situation demeure aussi très volatile. Le rapport de force entre les deux camps est très variable d’un front à un autre », résume une source militaire. Au sud et à l’est du pays, les forces russes restent à l’offensive. Sur le front méridional, malgré quelques revers très localisés, ces troupes semblent en passe d’établir une continuité territoriale qui leur permettrait de tenir entièrement le littoral de la mer d’Azov. Marioupol, où 160 000 civils sont assiégés et pilonnés par l’armée russe, est la dernière poche de résistance ukrainienne dans cette zone. La relation nouée entre les présidents Vladimir Poutine et Xi Jinping est si forte que les deux hommes se sont déjà rencontrés à trente-huit reprises. Les deux anciens pays frères » communistes, longtemps brouillés après la déstalinisation de l’URSS, ont renoué avec une amitié sans limites », marquée notamment, sur le plan énergétique, par un accord prévoyant l’exportation annuelle vers Pékin de 38 milliards de mètres cubes de gaz naturel russe, acheminés par un nouveau gazoduc long de près de 4 000 kilomètres, à travers la Sibérie orientale. Mais la Chine est écartelée entre son partenariat stratégique avec la Russie et ses impératifs économiques menacés par les conséquences de l’invasion de l’Ukraine. Sur le terrain, les combats continuent mais l’étau semblait se desserrer dans certaines villes assiégées, comme à Mykolaïv, ville verrou sur la route d’Odessa, plus grand port d’Ukraine, pilonnée depuis des jours par l’artillerie russe. Le front a même sensiblement reculé, avec une contre-offensive ukrainienne sur Kherson, à quelque 80 km au sud-est, seule ville d’importance dont l’armée russe ait revendiqué la prise totale depuis le début de son invasion de l’Ukraine le 24 février. Le ministère de la défense russe a annoncé, vendredi 25 mars, que ses forces se concentreraient désormais sur une libération » complète du Donbass – région ukrainienne située dans l’est du pays, à la frontière avec la Russie. L’armée russe contrôle 93 % du territoire de la république populaire de Louhansk » et 54 % du territoire de la république populaire de Donetsk », a précisé le ministère de la défense. L’annonce de ce recentrage apparent des objectifs militaires de Moscou survient alors que les lignes de front n’ont plus bougé depuis des jours à proximité des grandes villes assiégées par l’armée russe, dont Kharkiv, Tchernihiv et Mykolaïv, et alors que les forces ukrainiennes semblent même avoir repris l’ascendant à l’est de Kiev. Dimanche 20 mars, le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a dénoncé le bombardement de l’école d’art de Marioupol, détruite par des frappes russes alors que 400 personnes – femmes, enfants et personnes âgées – y étaient réfugiées selon les autorités locales. Le bilan du nombre de victimes est en train d’être clarifié », a souligné la municipalité. Infliger une chose pareille à une ville pacifique …, c’est un acte de terreur dont on se souviendra même au siècle prochain », a asséné M. Zelensky, dénonçant un nouveau crime de guerre ». Assiégée, privée de couloirs humanitaires durables et bombardée sans cesse depuis seize jours, Marioupol, le grand port du sud de l’Ukraine, a subi des destructions inimaginables pour ses habitants. Ils seraient encore 300 000 à survivre dans des conditions terribles. Mercredi 16 mars, un bombardement a dévasté le Théâtre dramatique, dans le centre-ville. Le bâtiment a été détruit mais l’abri antibombes, dans lequel plus d’un millier » de civils s’étaient réfugiés, est intact, selon deux députés ukrainiens. Sur sa page Facebook, Sergiy Taruta annonce que les gens [en] sortent vivants », sans pouvoir donner de chiffres précis. La Russie nie avoir bombardé le lieu et accuse le régiment Azov, formation d’extrême droite ukrainienne, sur qui il avait déjà rejeté la responsabilité de l’attaque d’une maternité. L’ONG Human Rights Watch a expliqué, mercredi, qu’elle ne pouvait pas exclure la possibilité d’une cible militaire ukrainienne dans la zone du théâtre ». Mais nous savons que le théâtre abritait au moins cinq cents civils. » Plusieurs fortes explosions ont été entendues mardi à l’aube dans le raïon quartier administratif Chevtchenkivsky, où un bâtiment de douze étages a été endommagé. La presse n’est pas autorisée à circuler dans la ville en raison du couvre-feu, le deuxième depuis le début de la guerre. De violents combats ont lieu à la périphérie nord-ouest, dans et autour des villes d’Irpine, d’Hostomel et de Boutcha. Stratégie voulue ou subie ? Pour un responsable du département de la défense des Etats-Unis, cité par Associated Press, les troupes russes tirent à l’artillerie lourde sur le centre-ville de Kiev précisément parce qu’elles ne peuvent plus avancer. Elles se trouveraient à une quinzaine de kilomètres de la capitale depuis plusieurs jours. Au douzième jour de l’invasion de l’Ukraine par la Russie, Moscou poursuit son offensive tous azimuts, bombardant notamment la deuxième ville du pays, Kharkiv dans l’est du pays, et tentant d’encercler Kiev dans le Nord. La Russie a annoncé, lundi 7 mars, l’ouverture de plusieurs corridors humanitaires et l’instauration de cessez-le-feu locaux pour évacuer des civils de Kiev, de Kharkiv, du port assiégé de Marioupol dans le Sud-Est, de Tchernihiv dans le Nord et de Soumy dans le Nord également, proche de la frontière russe. En réalité, les deux tiers de ces couloirs humanitaires devaient permettre de rejoindre la Russie ou la Biélorussie, son alliée. Résultat les autorités ukrainiennes ont refusé l’évacuation de leurs ressortissants par le biais de ces corridors, placés de fait sous contrôle russe. Il y a eu un accord sur les couloirs humanitaires. Est-ce que ça a fonctionné ? A la place, ce sont les chars russes qui ont fonctionné, les lance-roquettes russes, les mines russes », a confirmé, en fin de journée, le président ukrainien, Volodymyr Zelensky. Les multiples violations russes du cessez-le-feu ont empêché les civils de quitter la grande ville portuaire de Marioupol dans le Sud-Est, en état de siège. L’évacuation de cette ville de 450 000 habitants, qui devait commencer samedi 5 mars en fin de matinée, est reportée pour des raisons de sécurité » car les forces russes continuent de bombarder Marioupol et ses environs », a déclaré la municipalité sur le réseau social Telegram. Contrairement aux affirmations de la Russie, le corridor humanitaire entre Marioupol et Zaporijia, à 220 kilomètres au nord-ouest – et sous contrôle ukrainien –, ne fonctionne pas. La situation est similaire à Volnovakha, une localité située à une soixantaine de kilomètres au nord de Marioupol et elle aussi encerclée. L’Ukraine dispose de quinze réacteurs nucléaires en service répartis sur quatre sites. Le pays est le septième producteur mondial d’énergie nucléaire, selon l’Agence internationale de l’énergie atomique AIEA. La centrale de Zaporijia dans le Sud-Est, dont la Russie s’est emparée vendredi 4 mars, est la plus importante d’Europe. C’est un site stratégique mettre la main dessus revient à maîtriser environ 20 % de la production électrique du pays. Zaporijia, qui compte six réacteurs, a été touchée, dans la nuit du 3 au 4 mars, par des attaques russes. Un bâtiment a pris feu, faisant craindre une immense catastrophe nucléaire. Après plusieurs heures d’incertitude, les lieux ont été sécurisés et les réacteurs ont été arrêtés en toute sécurité », selon des responsables américains, en lien avec Kiev. Le site de Rivne, dans l’Ouest, possède quatre réacteurs nucléaires. Deux de ces réacteurs n’ont pas d’enceinte de confinement, dont la mission est de contenir d’éventuels produits radioactifs qui seraient relâchés et de protéger le réacteur d’impacts extérieurs. La centrale de Khmelnytsky, dans l’Ouest, compte deux réacteurs, et le site de l’Ukraine du Sud en a trois. L’alimentation électrique du site de Tchernobyl a été complètement coupée », mercredi 6 mars, en raison des actions militaires de l’occupant russe », selon l’AIEA, qui a précisé que cela n’avait pas d’impact majeur sur la sécurité ». La centrale – à l’origine de la plus grave catastrophe nucléaire civile dans le monde, en 1986, et qui n’est plus en activité depuis – est située dans le nord de l’Ukraine, près de la frontière biélorusse. Le personnel qui intervient sur les installations n’a pas pu sortir depuis la prise de contrôle du site par les Russes, le 24 février. Des responsables ukrainiens ont confirmé, dans la nuit du mercredi 2 au jeudi 3 mars, la présence de l’armée russe à Kherson, grande ville du sud du pays que Moscou avait annoncé avoir conquise dans la matinée, après des combats acharnés. Il s’agit de la plus grande ville prise par les forces russes depuis le début de l’invasion, le 24 février. Cette ville portuaire, située non loin de la péninsule de Crimée, annexée en 2014 par Moscou, a subi d’intenses bombardements. Kharkiv, la deuxième ville d’Ukraine Nord-Est, proche de la frontière avec la Russie, est la cible d’intenses bombardements depuis plusieurs jours. Le 2 mars, l’armée ukrainienne a annoncé que des troupes aéroportées russes [avaient] débarqué à Kharkiv » pendant la nuit. Un combat est en cours entre les envahisseurs et les Ukrainiens », a ajouté l’armée ukrainienne. A Kiev, de fortes explosions ont été entendues pendant la nuit. Des milliers de femmes et d’enfants dorment depuis plusieurs nuits dans le métro, transformé en abri antiaérien. Le 3 mars, le président de la Fédération de Russie, Vladimir Poutine, a assuré à la télévision russe que l’ opération militaire » en Ukraine se déroulait strictement selon le calendrier, selon le plan ». Il a répété que l’objectif était de combattre des néonazis » pour sauver Russes et Ukrainiens, qui ne sont, selon lui, qu’un seul peuple ». Kharkiv, proche de la frontière avec la Russie, a été visée par d’intenses bombardements, mardi 1er mars, qui ont fait au moins vingt et un morts, selon le gouverneur régional. Mercredi 2 mars, l’armée ukrainienne a annoncé sur Telegram que des troupes aéroportées russes [avaient] débarqué à Kharkiv » dans la nuit, et qu’ un combat [était] en cours ». Des frappes ont touché le centre de la police, l’université ou encore la mairie de cette ville de 1,4 million d’habitants. Les services d’urgence ont recensé au moins quatre morts. Mercredi 2 mars, l’Assemblée générale de l’Organisation des Nations unies ONU a adopté, à une écrasante majorité, une résolution qui exige que la Russie cesse immédiatement de recourir à la force contre l’Ukraine ». En outre, le texte condamne » la décision de Moscou d’ accentuer la mise en alerte de ses forces nucléaires ». Pilotée par l’Union européenne UE en coordination avec Kiev, la résolution affirme aussi son attachement à la souveraineté, l’indépendance, l’unité et l’intégrité territoriale » de l’Ukraine. Sur les 193 Etats membres des Nations unies, 141 ont approuvé le texte, cinq – la Russie, la Biélorussie, la Corée du Nord, l’Erythrée et la Syrie – s’y sont opposés et 35 se sont abstenus – dont la Chine. De nombreux diplomates ont qualifié le résultat de ce vote d’ historique » même si cette résolution n’a pas de valeur contraignante, montrer l’isolement de la Russie est crucial dans la stratégie occidentale. Les forces russes, en dépit d’une résistance ukrainienne tenace, progressent sur tous les fronts en direction de Kiev Nord, qui compte 2,9 millions d’habitants. Elles ont notamment frappé, mardi 1er mars, la tour de télévision de Kiev. A l’ouest de la capitale, les forces russes frappent durement Jytomyr à 140 kilomètres de Kiev et, dans le Nord-Est, les combats ont atteint Tchernihiv à 150 kilomètres de Kiev. Dimanche 27 février, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a annoncé que les vingt-sept Etats membres de l’UE fermaient leur espace aérien aux avions et compagnies russes. Avant cela, vingt-trois pays de l’UE, dont la France, avaient déjà pris cette décision. En dehors de l’UE, d’autres pays ont pris la même mesure, à l’image du Royaume-Uni, de la Norvège, de la Macédoine du Nord ou de l’Islande. Hors Europe, le Canada a également annoncé la fermeture de son espace aérien à la Russie. L’aérodrome d’Hostomel à environ 25 kilomètres du centre de Kiev est, depuis le début de l’invasion de l’Ukraine, le théâtre de violents affrontements, l’armée de Vladimir Poutine tentant de s’emparer de cette infrastructure stratégique pour la prise de la capitale. Par ailleurs, des images satellites prises le 28 février montrent un immense convoi militaire russe qui s’étend sur plus de 60 kilomètres au nord-ouest de Kiev. Ces images montrent des dizaines et des dizaines de véhicules alignés les uns derrière les autres sur des routes dans la campagne ukrainienne. Le territoire biélorusse est utilisé par Moscou comme base arrière. Au début de février, les Occidentaux affirmaient que 30 000 soldats russes avaient été déployés en Biélorussie dans le cadre de manœuvres militaires. De son côté, la Moldavie, voisine de l’Ukraine, a fermé son espace aérien dès le 24 février à tous les avions, y compris européens. Les vols en direction de la capitale, Chisinau, sont redirigés vers l’aéroport roumain de Iasi, frontalier avec la Moldavie. Au troisième jour de l’invasion menée le 24 février par la Russie en Ukraine, de violents combats faisaient rage à Kiev. L’armée russe tentait de rejoindre la capitale par le nord et le nord-est, avec des troupes entrées en Ukraine depuis la Biélorussie voisine. La nuit du vendredi au samedi a été extrêmement difficile. Les raids aériens russes se sont intensifiés, visant notamment les abords de la place de l’Indépendance, la place centrale, symbole de la révolution de Maïdan, en 2014. L’armée ukrainienne a annoncé avoir détruit en vol deux Iliouchine IL-76 qui étaient, selon Kiev, les fers de lance d’une opération aéroportée. D’autres unités russes sont toutefois parvenues jusqu’au centre de la capitale. Des combats ont notamment eu lieu sur l’avenue de la Victoire. Des hommes du quartier Obolon se sont rués vers les distributions de kalachnikovs destinées à la défense territoriale, des brigades de volontaires créées pour appuyer l’armée en cas de combats urbains. Sur les trottoirs, des cocktails Molotov ont été mis à la disposition des habitants qui souhaiteraient les jeter depuis leurs fenêtres sur les assaillants. Même si beaucoup d’habitants ont fui la ville et que des milliers d’autres se sont réfugiés dans le métro par peur des bombardements, un certain esprit de résistance semblait s’être emparé de Kiev. Des unités de civils en armes, un brassard jaune autour du bras, étaient visibles dans les rues. Les forces russes dans les airs L’invasion de l’Ukraine par la Russie, déclenchée le 24 février, est une offensive de très grande ampleur qui combine, dans sa première phase, tous les moyens militaires possibles aériens, maritimes et terrestres. Moscou a d’abord cherché à supprimer les défenses antiaériennes ukrainiennes. Outre les bombardements aériens, les moyens russes ont consisté en des missiles de croisière Kalibr tirés par sa flotte en mer Noire, des Iskander sol-sol lancés depuis la Russie, la Crimée et la Biélorussie, ainsi que des munitions de lance-roquettes multiples. Les attaques ont visé, de source russe, de nombreux sites de l’armée ukrainienne sur tout le territoire systèmes antiaériens, aéroports, centres de commandement et dépôts logistiques. Moscou a, par ailleurs, interdit tout vol dans un large rectangle sur la frontière russo-ukrainienne jusqu’au 18 mai. En mer En mer Noire, la Russie a positionné quatre sous-marins, des frégates, le puissant croiseur lance-missiles Moskva, mais aussi six bateaux d’assaut amphibies et des navires auxiliaires en appui de sa flotte face à l’Ukraine, avec pour cible la ville portuaire d’Odessa Sud. Des corvettes lance-missiles ont été déplacées depuis la mer d’Azov. Des batteries Bastion-P antinavires ont été installées sur les côtes près de Sébastopol, en Crimée, et de Novorossïsk, dans le sud de la Russie. Moscou a, en outre, fermé la mer d’Azov, y interdisant toute navigation depuis le 23 février. Enfin, des renforts ont été acheminés en Méditerranée orientale, dont deux sous-marins d’attaque Kilo et deux groupes navals complets. Sur terre Quelque 190 000 soldats russes ont été déployés à la frontière ukrainienne et en Biélorussie. De source ukrainienne, soixante bataillons de 30 000 à 60 000 hommes sont entrés en Ukraine au départ de la Biélorussie vers la capitale, Kiev Nord ; depuis la ville russe de Belgorod vers Kharkiv Nord-Est ; depuis le Donbass vers le port de Marioupol Sud-Est ; et depuis la Crimée vers Kherson Sud. Ces troupes, couvertes par l’aviation, ont utilisé une grande puissance de feu – des centaines de chars d’assaut, de blindés légers et d’obusiers divers. Lundi 21 février, Vladimir Poutine a reconnu l’indépendance des deux provinces séparatistes prorusses dans l’est de l’Ukraine, les républiques autoproclamées de Donetsk et de Louhansk. La décision prise par le président russe a enterré les accords de Minsk qui, depuis 2015, tentaient de mettre fin au conflit dans le Donbass. Elle a surtout ouvert la porte à un déploiement militaire russe dans cette région ukrainienne et à une offensive plus large, qui a débuté le 24 février. Selon Vladimir Poutine, Moscou reconnaît les frontières inscrites dans les Constitutions » des deux républiques populaires », c’est-à-dire l’intégralité des régions administratives de Donetsk et de Louhansk – soit un territoire trois fois plus grand que celui qu’elles contrôlent actuellement. Mais, dans le texte ratifié par la Douma, la chambre basse du Parlement russe, le périmètre est plus restreint il s’agit des frontières existantes » des deux républiques autoproclamées, qui s’arrêtent à la ligne de front. Depuis le renversement du président ukrainien, Viktor Ianoukovitch, en février 2014, le Donbass, un bassin minier, industriel et russophone, est au centre d’un conflit armé entre des séparatistes prorusses soutenus par Moscou et le nouveau régime ukrainien. Le 11 mai 2014, les séparatistes organisent un référendum et proclament l’indépendance des républiques populaires de Donetsk et de Louhansk ». Kiev, qui ne reconnaît pas ces dernières, intervient militairement au début de l’été 2014, mais l’avancée de l’armée ukrainienne est arrêtée par une contre-offensive appuyée par des forces russes. Les accords de Minsk, signés en septembre 2014 et février 2015, figent les positions des deux camps le long de la ligne de contact, longue de 457 kilomètres. En huit ans, la guerre dans le Donbass a fait plus de 14 000 morts, 25 000 blessés et 1,5 million de déplacés, selon l’ONU. Les grands formats du Monde » sur la guerre en Ukraine Le Monde vous propose des articles enrichis de cartes et d’infographies pour mieux comprendre certains enjeux de la guerre en Ukraine. Il y a trente ans, la fin de la guerre froide avait laissé espérer une mutation de ces eaux stratégiques en espace de coopération pacifique. Mais depuis l’annexion de la Crimée, en 2014, elles sont redevenues le théâtre de démonstrations de force entre la Russie et l’OTAN. La population de Russie est en déclin depuis la chute de l’URSS, une baisse que n’ont pas enrayée les mesures prises par Vladimir Poutine. L’Irlande est un pays de l’Europe septentrionale, membre de l’Union Européenne, occupant le nord-ouest et le sud de l’île d’Irlande, dans l’océan Atlantique. En gaélique le pays se nomme Éire et en anglais Ireland. Capitale Dublin. Population 2015 4,64 millions d’habitants. Produit Intérieur Brut – PIB 2015 238,02 milliards de dollars. Cartes et drapeau Frontières L’Irlande se situe à l’ouest de la Grande-Bretagne, dont elle est séparée par la mer d’Irlande et le canal Saint George. Indépendant depuis 1921, après sept siècles de domination britannique contre laquelle s’est forgée l’identité nationale, le pays comprend les provinces historiques de Leinster, Munster et Connacht ainsi que trois des neuf comtés d’Ulster. Les six autres comtés de cette province forment l’Irlande du Nord, qui fait partie du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande du Nord. Contés et villes principales La république d’Irlande est divisée en 26 comtés et en 4 bourgs-comtés les villes de Dublin, Cork, Limerick, Waterford, dont les municipalités sont administrativement indépendantes des comtés. Les conseils de comté et les county borough corporations, les collectivités représentant les 4 bourgs-comtés, sont élus pour cinq ans, de même que les conseils de district urbain et les conseils municipaux, qui ont compétence, au niveau local, dans les domaines tels que la politique de santé, du logement ou la distribution d’eau. Malgré les mutations économiques et sociales des dernières décennies, le taux d’urbanisation demeure très inférieur à celui des autres pays européens. Plus d’un million des irlandais vivent et travaillent dans l’agglomération de Dublin, la capitale, qui concentre une bonne part de l’emploi industriel et commercial ainsi que l’essentiel des activités administratives et culturelles. La deuxième ville du pays est Cork, le grand port irlandais. Les villes les plus dynamiques sont, dans l’Ouest rural, Limerick, centre commercial, et Galway, ville universitaire, et dans le sud-est, Waterford, centre de l’industrie agroalimentaire. Relief L’Irlande couvre 70 273 km² sur les 84 000 km2 de superficie totale de l’île. Le relief porte l’empreinte des glaciations quaternaires ; il est constitué d’une alternance de plissements et de dépressions. Au centre, l’érosion a dégagé, sur le socle calédonien, une vaste plaine centrale calcaire Burren, sillonnée de longues rides de gravier et de sable os ou eskers. La région est parsemée de lacs et de tourbières, ainsi que de dépôts morainiques formant des collines de forme allongée, les drumlins, qui s’élèvent sensiblement au nord-ouest monts Donegal, 750 m. La plaine est entourée par des massifs côtiers que séparent des vallées et de petites plaines, ouvrant l’accès à la mer. L’altitude n’est guère élevée les formations de grès rouge des monts de Kerry, au sud-ouest, culminent à 1 041 m au Carrantuohill. À l’est, les monts granitiques de Wicklow s’élèvent à 926 m. Le relief karstique du Burren, dans le comté de Clare, prolonge à l’ouest le massif cristallin des monts de Connemara 820 m et au nord-est le plateau basaltique d’Antrim. Les côtes se caractérisent par leur dissymétrie basses et sablonneuses à l’est, elles se transforment en falaises abruptes et sont très découpées à l’ouest. La mer pénètre souvent loin à l’intérieur des terres, dans les fjords profonds, comme à Carlingfdord et à Killary, ainsi que dans les rias baie de Dingle façonnées par l’érosion glaciaire et la variation du niveau des océans. Les côtes irlandaises offrent ainsi de multiples ports naturels en eaux profondes, tel celui de la baie de Bantry, dans l’ouest du Kerry, l’un des mouillages les plus profonds d’Europe occidentale. Au large de la côte atlantique subsistent des chapelets d’îles îles d’Aran, île Achill autrefois rattachées à la grande terre. Climat En dépit de sa situation relativement septentrionale — entre 51° 5’ et 55° 5’ de latitude nord —, l’Irlande bénéficie d’un climat relativement doux, typiquement océanique, marqué par l’influence régulatrice du Gulf Stream qui réchauffe les eaux atlantiques. La nébulosité et les brouillards sont prédominants. L’uniformité climatique prévaut, le relief ne constituant nulle part un obstacle, et l’amplitude thermique annuelle est faible les températures moyennes oscillent de 4 °C à 7 °C en janvier et de 14 °C à 16 °C en juillet. La douceur contraste avec l’humidité du climat l’Irlande reçoit chaque année en moyenne 1 016 mm de pluie, répartis sur plus de 200 jours avec un maximum hivernal. La côte occidentale est plus exposée aux perturbations océaniques et aux forts vents d’ouest, porteurs de pluie et d’embruns elle reçoit en moyenne 2 500 mm d’eau. Comme on peut le voir sur la carte de l’Islande, le pays est une île située dans le nord de l’océan Atlantique. Elle occupe une position stratégique entre l’Amérique du Nord et l’Europe et se trouve immédiatement au sud du cercle Arctique à environ 290 kilomètres au sud-est du Groenland, à 1 000 kilomètres à l’ouest de la Norvège et à 800 kilomètres au nord-ouest de l’Ecosse. Carte de l’Islande – Crédit Nations Online En savoir plus sur l’Islande La population se concentre dans seulement 20% du territoire, car une grande partie de l’Islande est couverte de neiges éternelles, de glaciers ou possède un relief volcanique caractérisé par des sols peu fertiles qui ne se prêtent ni au développement de l’agriculture ni à la pratique de l’élevage. Islande carte – Crédit Ministère des affaires étrangères L’Islande est l’un des plus petits pays du monde et sa population ne dépassait pas 330 000 habitants en 2015. Plus de 50% des Islandais vivent à Reykjavik, la capitale, dans l’extrême sud-ouest de l’île. La capitale se trouve à proximité des principales voies aériennes et maritimes du nord de l’océan Atlantique. L’Islande est l’une des plus anciennes républiques démocratiques du monde. Découvrir l’Islande L’Islande est une île d’origine volcanique. Sa surface a été modelée voir la carte de l’Islande sur le relief par les coulées de lave provenant des volcans disséminés sur l’ensemble du territoire. Certains d’entre eux sont toujours actifs à l’heure actuelle. Ils produisent des sources d’eau chaude et des geysers qui se forment lorsque l’eau entre en contact avec la lave brûlante. Carte du relief de l’Islande – Image extraite de maps-for-free Ces sources d’eau chaude constituent une importante ressource économique dans la mesure où elles permettent de chauffer une partie des habitations et des bâtiments de la capitale, mais aussi un grand nombre de serres, ce qui facilite les cultures maraîchères et horticoles. Certains volcans actifs comme l’Hekla 1 491 mètres, entrent de temps à autre en éruption et causent des dégâts considérables. L’île volcanique de Surtsey qui se trouve au large du littoral méridional de l’Islande s’est formée à partir des nombreuses éruptions qui se sont succédées depuis 1963. Carte des villes en Islande – Crédit Ministère des affaires étrangères Les vastes plateaux constitués par l’accumulation des coulées de lave sont recouverts de glaciers qui glissent progressivement vers la mer. Le littoral est très montagneux à l’exception des plaines côtières qui jouxtent la capitale, dans le sud-ouest du pays. Hvannadalshnükur, le plus haut sommet du pays, se dresse à 2 119 mètres d’altitude on peut le voir sur la carte de l’Islande en bordure de l’océan Atlantique, dans le sud de l’Islande. A l’exception du sud-ouest, le littoral est marqué par la présence de nombreux fjords et par une multitude de baies. Carte vierge de lslande – Crédit Actualitix Climat dans le pays En dépit de la latitude nordique de l’Islande, le climat est tempéré par la Dérive Atlantique Nord un courant océanique charriant des eaux chaudes qui vient baigner le littoral méridional et occidental de l’Islande. Le climat demeure cependant frais toute l’année durant. En janvier, les températures minimales enregistrées à Reykjavik tournent autour de Islande sur une carte de l’Europe – Crédit Actualitix En juin, elles ne dépassent pas 11,2°C. Le littoral nordique est baigné par des eaux beaucoup plus froides pendant la majeure partie de l’année. Les températures estivales et hivernales sont de 3°C et de 5°C plus froides que dans le sud du pays. En hiver, le littoral nordique de l’Islande est affecté par des brouillards givrants. Les gelées ne s’interrompent que pendant une courte période et les versants montagneux sont enneigés pendant près de six mois consécutifs. La pluviométrie annuelle moyenne oscille entre 1 000 et 1 500 millimètres dans le sud-ouest du pays. Les précipitations s’échelonnent entre 500 millimètres, dans le nord, et 3 000 millimètres, dans les zones montagneuses. Islande sur une carte du monde – Crédit Actualitix Géographie avec la carte de l’Islande La nature des sols, le climat et le système hydrographique ne sont pas favorables aux forêts. Les arbres qui poussaient autrefois dans les plaines islandaises ont été abattus par les premiers colons afin de servir de bois de construction, leur écorce a également servi de nourriture aux moutons en hiver. La carte de l’Islande permet d’en savoir plus. Actuellement, la végétation des zones marécageuses se compose surtout de linaigrette ou lin des marais, de carex et de joncs. Les forêts sont réduites et se composent presque exclusivement de saules nains, de bouleaux, de sorbiers, d’herbes, de mousses et de lichens. Elles se concentrent surtout dans les vallées côtières, les plaines du sud-ouest et les plateaux de lave qui se trouvent à une altitude peu élevée. Choisissez votre destination de voyage Destination Amérique du Nord et centrale Les Etats-Unis, le Canada, des territoires immenses qui fascinent ! Parcs naturels, somptueux lacs, le continent américain offre de vraies merveilles. Sans oublier les pays d’Amérique centrale, pays authentiques et chaleureux. C’est parti pour un tour d’Amérique Et si on partait pour le Canada ? 14 fois plus grand que la France, ce pays fait beaucoup rêver. Amateurs de grands espaces, embarquez pour les somptueuses Rocheuses canadiennes et ses parcs nationaux. Le Vieux-Québec, Montréal ou Vancouver sont des villes qui valent le détour. A ne pas manquer, les fameuses chutes du Niagara, spectacle époustouflant garanti ! Autre pays aux merveilles naturelles, les Etats-Unis ! Qui n’a jamais vu des photos incroyables du Grand Canyon, alors direction les parcs nationaux de l’ouest américain notamment en Utah, Wyoming et Arizona. Et si vous êtes fan de surf et de volcans, pourquoi ne pas partir en voyage à Hawaii ? Vous préférez la ville, alors New York est l’étape incontournable où plusieurs jours sont nécessaires pour découvrir cette légendaire ville. Au sud-est, destination la Floride, son climat et ses plages sans rater le parc national des Everglades. Un détour à la Nouvelle Orléans pour voir un concert de jazz avant de partir à Las Vegas, la ville royaume des casinos. Le Costa-Rica ! Le pays où il fait bon vivre ! Ici, pas de stress, vous allez prendre le temps de randonner dans les nombreux parcs naturels où vous pourrez observer une faune et une flore incroyable et faire l’ascension du volcan Arenal. Et pour finir votre journée, un bon bain sur les plages paradisiaques du pays est un bon programme. Le Mexique avec ses paysages d’une grande diversité entre mer et montagnes en passant par des forêts tropicales et des déserts. Qui n’a jamais entendu parler de Cancun, la grande station balnéaire avec de belles plages que vous pouvez coupler avec la découverte de nombreux sites mayas. Les possibilités de circuits y sont très nombreuses. Et Belize, vous connaissez ? Ce minuscule pays hyper accueillant est pourtant à découvrir avec ses incroyables cités mayas, ses forêts tropicales et ses immenses plages de sable fin. Autre pays chaleureux, le Nicaragua qui va vous séduire avec ses beaux paysages entre Atlantique et Pacifique. Enfilez vos chaussures de marche et direction l’ascension du volcan Concepcion, visitez ses villes à l’architecture coloniale, et surtout reposez-vous sur l’une de ses superbes plages paradisiaques. Le Honduras est une destination touristique dont on entend peu parler mais vous y trouverez des paysages époustouflants. Des parcs nationaux avec une faune et une flore très riche où on peut y observer de très nombreuses espèces d’oiseaux, de la plongée pour découvrir de nombreux animaux marins et de superbes coraux, du kayak à Cayos Cochinos…on ne s’ennuie pas au Honduras. Vous aimez le surf ? Saviez-vous que El Salvador devient la destination tendance pour la pratique de cette activité. Parcs nationaux avec de nombreuses espèces animales, volcans, ruines mayas et plages, voilà ce qui vous attend à El Salvador. Avez-vous fait votre choix pour votre prochaine destination en Amérique du Nord et Centrale ? Destination Europe Bienvenue en Europe ! Le vieux continent vous réserve bien des surprises avec ses superbes monuments et ses trésors naturels. Facile d’accès, vous aurez l’embarras du choix entre ses capitales les plus belles au monde, ses montagnes et parcs naturels, sans oublier ses superbes plages et criques. Partir pour un week-end ou pour plusieurs semaines, l’Europe regorge de destinations découverte à ne pas manquer. Si vous avez envie de vous offrir un long week-end, les destinations en Europe ne manquent pas ! Que diriez-vous de passer quelques jours à Lisbonne au Portugal pour y déguster ses fameuses Pastéis de Bélem, à Rome pour découvrir la Chapelle Sixtine, à Berlin pour profiter de sa vie nocturne, à Madrid pour visiter le musée du Prado, à Prague pour la beauté de ses monuments, à Londres pour voir la famille royale, à Venise pour donner à manger aux pigeons de la place Saint-Marc, à Paris pour admirer la vue depuis la Tour Eiffel… il y a tant de belles villes à visiter en Europe qu’il est difficile de toutes les énumérer. En Europe, vous trouverez également de superbes îles plus belles les unes que les autres. Destination Santorin en Grèce, la perle des Cyclades avec ses allures de carte postale, Majorque aux Baléares avec ses superbes plages, la Crète sauvage et montagneuse et ses criques, la Corse, l’île de Beauté qui porte incroyablement son nom, les îles Canaries et leur douceur de vivre toute l’année… L’Europe, c’est aussi une destination offrant des spectacles uniques au monde. Des décors grandioses en Islande avec des fjords, des volcans, des chutes, des icebergs et des aurores boréales. En Irlande, ce sont de spectaculaires falaises qui vous attendent. Et L’Etna en Sicile, est l’un des volcans actifs les plus visités de la planète. L’île de Lanzarote aux Canaries offre un paysage lunaire avec sa lave craquelée et son incroyable lagon de couleur verte. En Turquie, le site de Pamukkale offre une vision féérique avec ses eaux chaudes sur une falaise d’un blanc immaculé. En Italie, le site des Dolomites présente une diversité de paysages spectaculaires, avec ses falaises abruptes, ses vallées étroites et profondes. A moins que vous ne préfériez les Cinque Terre, ces fameux villages aux façades colorées. Et des vestiges de l’histoire en Europe, il y en a partout notamment à Rome avec son Colysée, à Pompéi avec ses ruines suite à une éruption volcanique dévastatrice, à Malte avec ses temples anciens en pierre, en Grèce avec l’Acropole et ses nombreux temples, en France avec le Pont du Gard cet immense aqueduc romain, en Angleterre, le monument mégalithique énigmatique de Stonehenge construit il y a plus de 5000 ans… Plus récent, le Château de Versailles ou la Sagrada Familia à Barcelone sont des incontournables en Europe. Et vous quelle sera votre prochaine destination en Europe ? Le choix n’est pas facile car il y a tant de merveilles à découvrir dans chaque pays ! L’avantage, c’est que ce sont des destinations proches et faciles d’accès, alors ce serait dommage de s’en priver. Destination Océanie L’Océanie ! Qui n’a jamais rêvé de partir vers cette destination au bout du monde qui regorge de merveilles. Des paysages exceptionnels à vous couper le souffle avec des îles paradisiaques et des grandes étendues sauvages. Et pour vous donner envie de partir découvrir ce continent, un petit tour de chaque pays s’impose La Nouvelle-Zélande est la destination voyage pour les amoureux de grands espace et de nature montagnes aux sommets vertigineux, lacs et cratères rutilants. Auckland, considérée comme l’une des villes les plus agréables à vivre au monde est la métropole à visiter. On peut à la fois découvrir de superbes galeries d’art et se baigner sur ses plages avoisinantes. Si vous êtes sportifs, la Nouvelle-Zélande est la destination faite pour vous. Que diriez-vous de faire du kayak dans le Milford Sound, randonner dans le Parc national Abel Tasman en longeant de superbes criques, faire de l’escalade dans le parc national de Tongariro où vous découvrirez ses fameux lacs émeraude, admirer les grottes de Waitomo et ses millions de vers luisants, pêcher ou nager avec les dauphins dans la Baie des îles ? Et que dire de l’Australie, cet immense territoire aux multiples facettes entre déserts, parcs nationaux, plages paradisiaques et cette incroyable barrière de corail. Sydney, ville star avec son fameux opéra, l’Ayers Rock, ce fameux rocher symbole du pays, Great Ocean Road l’une des routes côtières la plus belle au monde, Kangoroo Island et ses kangourous et pingouins en liberté, l’île sauvage de Tasmanie classée à l’UNESCO….difficile de citer tous les incontournables du pays car il y en a vraiment beaucoup. Et comme le pays est très grand, il vous faudra un deuxième voyage pour découvrir toutes ses merveilles. La Nouvelle-Calédonie est également une destination fascinante avec ses lagons, ses plages d’une rare beauté et sa nature éclatante. Et s’il y a un endroit à ne pas rater, c’est bien l’île des Pins avec ses plages d’une pureté incroyable et ses eaux turquoise, elle est d’ailleurs surnommée l’île la plus proche du paradis » Et si on vous dit, Tahiti, Bora Bora, Moorea, que des noms d’îles paradisiaques qui font rêver. Mais quelle île de la Polynésie française choisir pour un premier voyage ? Tahiti est la destination où vous atterrirez car c’est la seule île à disposer d’un aéroport international. Vous découvrirez Papeete, ses bars et ses marchés, ses splendides plages et vous pourrez y faire quelques randonnées. Bora Bora, la Perle du Pacifique, est d’une incroyable beauté avec son immense lagon. Et pour les amateurs de plongée, il n’y a qu’à mettre la tête sous l’eau pour admirer des poissons de toutes les couleurs. A moins que vous ne préfériez Moorea, moins touristique que Tahiti et qui possède de magnifiques plages où vous pourrez plonger avec masque et tuba pour découvrir une vie marine abondante aux mille couleurs. Pas facile de choisir son île de rêve ? Que de paysages époustouflants à découvrir en Océanie ! Vous avez choisi votre destination ? Destination les Caraïbes Caraïbes, la destination qui fait rêver ! Plages paradisiaques et soleil, voilà le programme qui vous attend. Le problème serait de savoir quelle île choisir car il y en a tant ! La Guadeloupe est une destination qui regorge d’activités. Outre ses plages de rêve, vous pourrez surfer parmi des spots reconnus, plonger à la découverte de poissons multicolores, escalader le volcan de la Soufrière, admirer les merveilleuses plantes de jardins botaniques, randonner dans une jungle exubérante. Et pour finir votre journée, un petit rhum local, cela vous dit ? Mais attention avec modération. S’il y a une destination à découvrir, c’est bien Cuba ! Retour dans le passé dans cette île où le temps semble s’être arrêté. Visitez la Havane, la capitale, avec sa richesse culturelle et finissez votre journée sur l’une des plages paradisiaques de l’île. Randonnée, plongée, vous n’allez pas vous ennuyer dans ce pays où règne calme et sérénité. De la République dominicaine, on ne connaît que souvent Punta Cana. Mais heureusement, il n’y a pas que cette plage et ses hôtels tout inclus » dans ce pays. D’autres merveilles souvent méconnues vous attendent sur cette île aux paysages naturels variés. Vous pourrez randonner sur le Pico Duarte, à 3098 m d’altitude, qui se trouve être le point culminant du pays et de toutes les Caraïbes, visiter la superbe ville de Saint-Domingue, observer les mammifères marins dans la baie de Samana ou faire de la plongée pour admirer une faune sous-marine riche en couleurs. La Martinique est également une destination attrayante pour un prochain voyage. Amoureux de belles plages et de nature, vous allez être gâtés. A ne pas manquer, l’ascension de la montagne Pelée qui offre des points de vue extraordinaires sur l’île. Et pour remettre de cette marche, rien de mieux qu’un bon bain dans une eau qui ne descend jamais en dessous de 26°C. Le bonheur ! Juste de quoi se rafraîchir sur cette île où il fait toujours chaud. Immersion dans la culture, la musique et la douceur de vivre en Jamaïque ! Imaginez-vous sirotant un petit verre de rhum sur votre transat face à la mer, le rêve. Mais vous pouvez être un peu plus actif et partir explorer les plantations de bananes et champs de canne à sucre, escalader les chutes d’eau de Dunn, plonger dans les eaux chaudes à la découverte d’épaves et de poissons colorés. Ah, les Bahamas. Rien que d’entendre ce nom, on pense immenses plages de sable blanc, eau turquoise, soleil toute l’année. Et oui, bienvenue au Paradis. Et pour ceux qui ont envie de se dégourdir un peu les jambes, les îles comptent une vingtaine de parcs nationaux où vous pourrez faire de belles randonnées. Le kayak est également très prisé notamment dans la mangrove de Grand Bahama. Aruba, vous trouverez le bonheur avec ses immenses plages inondées de soleil. Rien à penser, la destination est idéale pour de vraies vacances farniente. Il n’y a pas à hésiter, les Caraïbes, ce sera la prochaine destination de vacances. Destination Asie Destination l’Asie, le continent le plus grand et le plus peuplé ! Et côté paysage, de nombreuses merveilles n’attendent que vous. Pour goûter au charme de ses pays, il vous faudra plus d’un voyage mais qu’importe le temps de vol, l’Asie est une destination à découvrir. Direction l’Inde pour vivre une expérience unique. Essayez de vous frayer un chemin dans les rues de Delhi, visitez le temple de Minakshi, déambulez dans la ville rose » de Jaipur ou pour plus de calme vous rendre dans la région du Kerala avec ses étendues de plages. La Chine est un des incontournables de l’Asie. Ce troisième plus grand pays au monde présente des paysages des plus variés. Pékin, sa capitale avec la Cité interdite et la Grande Muraille est une ville à découvrir. Si vous aimez randonner, destination la Route de la Soie » où vous pourrez voir des grottes, oasis et déserts. Les Gorges du Saut du Tigre sont également réputées pour les marcheurs. Rizières en terrasse et collines karstiques en pain de sucre contrastent avec la ville moderne de Shanghaï. Plus au sud, l’Indonésie avec ses milliers d’îles dont Java, Sumatra, et Bali l’île qui fait tant rêvée. On ne s’ennuie pas en Indonésie avec ses superbes plages, ses forêts tropicales, ses volcans et ses temples gigantesques. Autre ambiance, le Japon avec ses immenses gratte-ciels, ses produits high-tech, ses mangas… Mais aussi sa montagne sacrée le Mont Fuji, le point culminant de l’île, qui fascine par sa beauté exceptionnelle. Si vous envisagez un voyage au Japon, nous vous conseillons le mois d’avril pour profiter des somptueux paysages des cerisiers en fleur. Le Laos est une destination qu’il vous faut absolument découvrir. Resté authentique, vous tomberez sous le charme de ce pays où tout y est zen. Plantations de thé et café, montagnes, cascades sans oublier le Mékong qui est au cœur de la vie des laotiens. En quête de spiritualité, direction le Bhoutan ! Le pays le plus écologique du monde vous invite pour un voyage d’exception au cœur de l’Himalaya et de ses forêts vierges. Le Vietnam est une destination parfaite si vous envisagez un voyage en famille. Tout y est pour un séjour inoubliable des habitants accueillants, des paysages variés et des cultures originales. De magnifiques rizières en terrasse à la magnifique baie d’Halong, vous allez tomber sous le charme de ce pays. A côté, le Cambodge est une destination riche en émotions avec ses célèbres temples d’Angkor et ses villes à l’architecture coloniale. Et si vous voulez vous détendre, le Cambodge possède de superbes plages aux eaux turquoise. La Thaïlande, est la destination aux multiples facettes qu’il ne faut pas rater en Asie du sud-est. De superbes plages, l’agitation de Bangkok, des spots de plongée mondialement réputés et de nombreux temples, la Thaïlande est un incontournable de l’Asie. Partez en Asie vivre une expérience dès plus passionnante des saveurs nouvelles, une culture riche et des paysages variés. Destination le Moyen-Orient Le Moyen-Orient n’est pas forcément le continent le plus touristique mais il cache de nombreuses merveilles qu’il serait dommage de ne pas découvrir. Des paysages à vous couper le souffle avec le désert Wadi Rum en Jordanie et des monuments impressionnants comme le site de Pétra mondialement connu. Alors, prêts à embarquer au Moyen-Orient ? Vous êtes intéressé par l’histoire et la culture ? Alors destination la Jordanie pour un voyage inoubliable sur le site de Pétra, décrit comme la huitième merveille du monde, Jerash et le désert rouge de Wadi Rum avec ses roches aux formes et aux couleurs spectaculaires. L’Iran est une destination qui derrière ses tensions fait rêver beaucoup de voyageurs. Imaginez des paysages à couper le souffle, un riche patrimoine architectural, des villes saintes, des mosquées somptueuses, des villages pittoresques. Vous reviendrez enchanté de votre voyage en Iran. Les Emirats arabes unis sont une destination qui attire de plus en plus de touristes curieux de découvrir ce contraste entre villes ultra modernes et déserts. Parmi ces émirats, Dubaï est la destination la plus touristique avec son bâtiment le plus haut du monde, ses boutiques de luxe et le plus incroyable sa piste de ski au milieu de désert. Israël, une destination passionnante à visiter par son histoire et sa culture. Les incontournables sont nombreux visite de la vieille ville de Jérusalem avec toutes ses cultures, du Mur des lamentations, de Massada la forteresse perchée sur un plateau qui domine la mer morte, de Nazareth pour découvrir la grotte de l’Annonciation, de Tel Aviv sur sa longue promenade de bord de mer. Direction la Turquie pour ses sites antiques, ses plages et ses superbes paysages de Cappadoce. A ne pas manquer Istanbul et ses incroyables monuments la Mosquée Bleue et Sainte-Sophie, Ephèse l’un des plus beaux sites archéologiques du pays, les étonnantes sources thermales de Pamukkale. A découvrir au Moyent-Orient, le Liban. Des sites archéologiques classés à l’Unesco, des déserts, des villes en pleine effervescence avec Beyrouth et ses quartiers multiculturelles. Préparez-vous à vivre une expérience unique au Moyen-Orient ! Destination Afrique L’Afrique, un continent sauvage et mystérieux qui attire les voyageurs amoureux de paysages qu’on ne retrouve nulle part ailleurs. Des destinations qui se découvrent en famille au travers de safaris ou en amoureux sur les superbes plages de Zanzibar, c’est parti pour un tour d’Afrique L’Egypte, le pays des pharaons et des pyramides ! Une croisière sur le Nil est une bonne opportunité pour découvrir ce pays fascinant. Les sites touristiques sont nombreux les temples de Louxor, les pyramides du Caire, la Vallée des Rois, le Sphynx, Alexandrie….Et pour les plus sportifs, destination la mer Rouge mondialement connue pour ses spots de plongée. Et si vous êtes du côté de Farafra, ne manquez pas cet incroyable Désert Blanc, l’une des merveilles naturelles les plus fascinantes d’Egypte avec ces étonnantes sculptures en calcaire. Paradis pour les ornithologues, l’Ethiopie est une destination aux paysages étonnants entre ses hautes montagnes, ses plateaux arides de la vallée du Rift et dans le désert de Danakil, le Dallol, zone volcanique avec des bassins d’acide verts fluorescents. L’Ethiopie, c’est également de nombreux parcs nationaux où vous pourrez observer toute la richesse de la faune et de la flore. Et pour vivre une expérience unique, direction l’Afrique du Sud ! Rendez-vous dans l’un des parcs les plus célèbres au monde, le Parc national Kruger pour aller observer les big fives ». Et si vous êtes à la recherche de points de vue extraordinaires, direction la Montagne de la table, l’un des nouvelles merveilles de la nature où vous une vue à 360° sur le Cap. A moins que vous ne préfériez aller au bout du monde au Cap de Bonne Espérance où tout n’est que nature sauvage. Imaginez le spectacle impressionnant que ces arbres morts dressés au sein d’une cuvette d’argile blanche au milieu de dunes rouges. Vous êtes à Dead Vlei dans lé désert de Namib en Namibie. Et si vous aimez les safaris, direction le Parc national d’Etosha pour observer éléphants, lions et léopards. Envie de grands espaces africains et de safaris ? Le Bostwana est la destination idéale avec sa faune abondante et ses oiseaux colorés. Ce sera également l’occasion de faire de jolies rencontres culturelles. Destination tendance, le Cap vert ! Archipel composé de plusieurs îles toutes plus belles les unes que les autres. Boa Vista, la plus belle des îles, est la destination pour les amateurs de belles plages et de plongée. Sur l’île de Fogo, vous partirez à l’ascension du volcan le Pico situé à 2 829 m d’altitude. A Sao-Nicolau, enfilez vos chaussures de marche et partez découvrir des paysages volcaniques de toute beauté. Vous n’avez pas trop envie de marcher ? Alors mieux vaut vous rendre sur l’une des plus belles plages du pays à Santa Maria sur l’île de Sal. Il y en a pour tous les goûts au Cap Vert. La Tanzanie est une destination qui attire car vous pouvez combiner safari et farniente sur les plus belles plages d’Afrique. Le Parc national de Serengeti, l’une des réserves naturelles les plus spectaculaires au monde avec de nombreux animaux est un des incontournables du pays comme le cratère du Ngorongoro. Le lac Natron est un endroit incroyable où viennent se reproduire par millions des flamands roses. Et pour vous dégourdir les jambes, une petite marche sur le Toit de l’Afrique », le Kilimandjaro… il vous faudra 6 jours de marche pour atteindre son sommet qui s’élève à 5895 mètres. Après la randonnée, rendez-vous à Zanzibar pour profiter de ses superbes plages paradisiaques aux eaux turquoise. Le paradis ! Et pour rêver encore plus, direction les Seychelles pour passer les meilleures vacances de votre vie. Car les plus belles plages au monde, c’est là qu’elles s’y trouvent avec notamment l’Anse Source d’Argent sur l’île de la Digue. Vous ne souhaitez pas aller si loin ? Alors, pourquoi ne pas faire un voyage au Maroc ? Facile d’accès, le pays offre un dépaysement complet à seulement 3h de Paris. Marrakech est la destination la plus touristique avec sa fameuse place Djema El-Fna et ses souks colorés. Mais si vous vous souhaitez découvrir de superbes paysages, c’est dans les montagnes de l’Atlas qu’il faut vous rendre. Vous tomberez également sous le charme de ses villes comme Essaouira et son port de pêche, Fès et son riche patrimoine culturel. Destination l’Afrique pour un voyage inoubliable ! Destination Amérique du Sud L’Amérique du Sud, ce sont plein de paysages grandioses et de nombreux sites culturels. Imaginez villes coloniales, sites incas, forêts amazoniennes, montagnes gigantesques…. C’est parti pour un tour d’Amérique du Sud Direction le Parc national de Cotopaxi en Équateur pour aller grimper jusqu’à son volcan qui vous offrira des points de vue extraordinaires. Et pour observer les oiseaux, l’Amazonie équatorienne est une destination rêvée pour les ornithologues. Coup de cœur pour les îles Galapagos avec une faune et une flore incroyable des tortues géantes, des poissons de toutes les couleurs, d’énormes fleurs tropicales… La Colombie est une destination qui attire avec ses villes comme Carthagène ou Bogota à l’architecture coloniale. Le Parc national de Tayrona est l’endroit à ne pas manquer si vous aimez les très belles plages. Et la découverte de l’Amazonie en pirogue, cela vous tente ? Ah, le Brésil, un pays qui fait rêvé ! Certes il y a Rio de Janeiro, son carnaval, sa plage de Copacabana, son pain de sucre mais il y a bien d’autres choses à découvrir au Brésil. A la frontière avec l’Argentine, les fameuses chutes d’Iguazu, l’immense désert de dunes du Lençois Marahenses, grottes et canyons dans le Parc national de la Chapada Diamantina… Venez découvrir le Chili et ses incroyables paysages la Patagonie, San Pedro de Atacama, le Parc national Torres Del Paine. Et enfin, allez saluer les Moaïs de l’île de Pâques. L’Argentine, ce vaste pays aux multiples facettes est un incontournable en Amérique du Sud. Votre voyage vous emmènera admirer les spectaculaires chutes d’Iguazu ou l’incroyable glacier Perito Moreno. Amateur de vin, il vous faut faire une halte dans la région viticole de Mendoza. Et bien sûr, une visite de Buenos Aires s’impose. Embarquez pour un voyage au Pérou pour aller naviguer sur le lac Titicaca, escalader le Machu Picchu ou admirer les vestiges de la civilisation Inca. Vénézuela, Bolivie, Uruguay, Paraguay que des pays qui donnent envie d’aller voyager en Amérique du Sud.

carte de l islande dans le monde